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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 17:26

 

            Dans un article récent j’écrivais que le service des intérêts de la dette était devenu le deuxième poste du budget de l’Etat derrière celui de l’Education.

 

            Rectification. Selon plusieurs sources autorisées et dignes de confiance il occupera, dès 2012, la première place.

 

            Nos petites têtes blondes passent ainsi derrière les banksters … A nous l’avenir, la recherche, l’innovation, solutions défendues par tous les partis pour sortir de la crise, pour mettre fin à la désindustrialisation de notre pays qui engendre chaque jour de nouveaux chômeurs.

 

            Qui a osé compter le nombre de postes d’enseignants engloutis par les intérêts de cette dette monstrueuse ?

 

            Bravo, les puissances de l’argent ont encore gagné une place. Les voici pour longtemps installées sur la plus haute marche du podium.

 

            Encore un haut fait d’armes à porter au crédit de ceux qui nous gouvernent.

 

           

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M
Qui détient la dette de la France ? Cette question, chaque contribuable français est en droit de se la poser. Ses impôts ne servent-ils pas à payer en partie les intérêts de la dette ? Or, si l’on<br /> dispose des quelques informations générales, savoir en détail qui détient les créances françaises et pour quel montant relève du secret extrêmement bien gardé. L’opacité est totale et couverte par<br /> la loi. Sur le site de l’AFT (Agence France Trésor) , le citoyen curieux apprend juste que 66 % des détenteurs de la dette sont des « non-résidents ». « En gros, un tiers de la dette est détenu par<br /> des investisseurs français, un tiers au sein de la zone euro, et un tiers à l’étranger, en dehors de la zone euro », précise Tân Le Quang, responsable de la communication au sein de l’agence.<br /> Problème : « Les non-résidents peuvent être de faux non-résidents, des Français détenteurs d’un portefeuille d’obligations via un paradis fiscal », objecte Michel Husson, de l’Institut de<br /> recherches économiques et sociales (Ires). « Un investisseur saoudien, qui détient de la dette française car il a investi dans un fonds d’investissement à Londres, est comptabilisé comme un<br /> investisseur britannique », complète Patrick Artus, économiste à la banque Natixis « Les trois plus gros détenteurs de la dette française sont le Luxembourg, les îles Caïmans et le Royaume-Uni »,<br /> lance-t-il. Les Îles Caïmans, un paradis fiscal des Caraïbes autant peuplé que Châteauroux (44 000 âmes), pourrait donc ainsi faire basculer le destin des Français ?<br /> <br /> Source http://www.bastamag.net/article2041.html
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  • : Créé par Gérard Facon
  • : La vie municipale et nationale examinée par un citoyen Lafittois.
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  • Gérard Facon
  •  Formation économique, juridique, banque, comptabilité publique. Diplômé de l'Ecole Nationale du Trésor.
 Trésorier Principal du Trésor Public  honoraire, Directeur d'études Caisse des dépôts,coopérant finances à l'étranger.
  • Formation économique, juridique, banque, comptabilité publique. Diplômé de l'Ecole Nationale du Trésor. Trésorier Principal du Trésor Public honoraire, Directeur d'études Caisse des dépôts,coopérant finances à l'étranger.

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