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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 19:28

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                    Nous venons de recevoir le numéro deux du Bulletin municipal. Le premier était de qualité, mais celui-ci l’est plus encore, nourri d’une année d’action.

 

                    D’une qualité soignée qui marque le respect de ses rédacteurs pour les lecteurs, ce bulletin est très complet et, pour la première fois, il ouvre une séquence Communauté de communes, structure capitale dans notre quotidien de citoyens contribuables. 

 

                    Le site internet est de la même veine, extrêmement complet, on y trouve pratiquement tout, y compris les menus de l’école. Intelligemment agencé, la navigation est vite instinctive. J’invite les Lafittois à le consulter régulièrement.

 

                   Nos élus ont bien changé, pratiquant la transparence, écoutant la population, encourageant toutes les initiatives, ils tiennent leur engagement de construire, enfin, une véritable démocratie locale.

 

                    Le mérite en revient à l’équipe toute entière mais je voudrais aujourd’hui saluer la mission communication pour l’excellence de son travail et la remercier de l’investissement nécessaire à un tel ouvrage.

 

                    Bravo à tous, continuez ainsi, notre village respire enfin, notre choix était le bon ce dont je n’ai jamais douté.

 

                    J’étais résolument à vos côtés lors de la campagne électorale, aujourd’hui, totalement retiré d’un combat passé, je suis un administré heureux. Je n’avais qu’une ambition, voir enfin l’obscurantisme et la gestion «petit braquet» disparaître, c’est fait et c’est très bien.

 

                    Merci à toutes et à tous.

 

                    

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13 décembre 2014 6 13 /12 /décembre /2014 13:49

 

             La semaine dernière, l’hebdomadaire Marianne publiait une estimation du montant de la retraite de François Hollande qui représenterait une somme de 36.000 euros par mois.

 

           Très vite, l’Elysée a démenti par la voix de Sylvie Hubac directrice de son cabinet, qui a déclaré : "en supposant que François Hollande demande le moment venu la liquidation de toutes les pensions auxquelles il a droit", c’est "une dotation mensuelle de 15.114 euros nets qu’il recevra" Pas mal, quand même, pour une dotation !!! Il est vrai qu’on ne parle pas ici de retraite mais de dotation, hors de question de mélanger les serviettes et les torchons! Beaucoup de français aimeraient eux aussi voir leur retraite ainsi transformée en simple dotation !

 

             François Hollande additionnera, selon la porte parole de l’Elysée :

 

                       - 3.473 euros nets mensuels de retraite venant de la Cour des comptes,

 -  235 euros nets comme ancien élu local,

- 6.208 euros nets par mois pour sa retraite de parlementaire,

- 5184 euros pour sa fonction de président de la République,

- un capital de 545 euros versé en une fois à raison de ses activités d’enseignement - 68 euros nets annuels pour ses activités d’avocat.  

 

               Comme tous les «Français de droit commun» je m’interroge sur les cumuls bizarres conduisant à cette situation privilégiée.


               L'article 25 de la loi du 13 juillet 1983 pose le principe général applicable à tout fonctionnaire, titulaire ou non: « Les fonctionnaires et agents non titulaires de droit public consacrent l'intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées » 0r, si on consulte la biographie de monsieur Hollande, on constate qu’il n’a exercé en qualité de conseiller référendaire à la Cour des comptes que de 1984 à 1988 soit quatre années.


              Rappelons son parcours :


              De 1983 à 1984 il est directeur de cabinet des ministres Gallo et Dumas et devient ensuite Président du club Pierre Mauroy.


             En 1984, il devient conseiller référendaire à la Cour des comptes (retraite nette 3473 euros mensuels). 


             Aux élections législatives de 1988, qui font suite à la réélection Mitterand, il est élu député de la première circonscription de la Corrèze.


                De 1988 à 1991, il est professeur d'économie à l'Institut d'études politiques de Paris.

            

                En 1993, il perd son mandat de député. Il prend la présidence du club «Témoin» de Jacques DELORS qu'il conserve jusqu'en 1997.


                 En 1997, après la victoire de la gauche plurielle, François HOLLANDE retrouve son siège de député de la Corrèze et devient premier secrétaire du parti socialiste. Il conserve ce siège jusqu’en 2012.


               Sauf erreur de ma part monsieur Hollande n’a donc exercé à la Cour des comptes que de 1984 à 1988. Ainsi «monsieur le Président» (né en 1954)  aurait acquis, en 4 ans d’exercice, et dès l’âge de 34 ans, une retraite de 3 473 euros nets mensuels !!!


              Cela s'explique par le détachement. Un fonctionnaire peut être détaché de son corps d'origine par exemple s'il devient membre du gouvernement, de l'Assemblée nationale, du Sénat, du Parlement européen ou pour effectuer un mandat local. Pendant cette période, il est rémunéré dans le cadre de son nouvel emploi, mais il continue de bénéficier de son droit à l'avancement dans son corps d'origine et de ses droits à la retraite. Un peu comme si un salarié du privé cumulait, sans cotisation supplémentaire, ses droits à retraite chez deux employeurs à la fois.


              Voilà une proposition démagogique alléchante qui manque dans le programme du PS !


             Si on ajoute, en outre, que jusqu'en novembre 2010, les députés pouvaient profiter de la règle de la double cotisation, qui leur permettait de cotiser doublement à leur caisse de retraite lors de leurs trois premiers mandats de 5 ans à l’Assemblée (5 ans = 10 ans de retraite), on frise la comédie. Un député ou un sénateur pouvaient donc cotiser 22,5 ans pour obtenir une retraite complète, contre plus de 40 ans aujourd'hui pour un salarié lambda.


             Bruno Le Maire est élève de l'ENA comme François Hollande et beaucoup d'autres. Son corps d'origine est celui des conseillers des affaires étrangères au quai d’Orsay. Il en a démissionné en 2012. Pour montrer l'exemple et faire cesser cette bouffonerie, il a déposé une proposition de Loi pour que députés et sénateurs soient obligés de démissionner de la fonction publique une fois élus au Parlement. Cette proposition n’a jamais été étudiée, pas plus que celles de messieurs Wautiez et de Villiers également députés, demandant l’alignement de la retraite des parlementaires sur le régime général !


              Les salariés ayant travaillé 42 ans pour 1200 euros de retraite par mois apprécieront.


             Certes les hommes politiques ont pour habitude de se concocter des règles en or, mais, quand même, comment monsieur Hollande, «Président normal» peut–il affirmer être, fondamentalement, l’ennemi déclaré de la Finance puisqu’il va recevoir une retraite digne des grands capitaines du CAC 40, lui qui, en outre, n’a jamais pris le moindre risque financier ? Comment ose-t-il déclarer être choqué par les «retraites chapeau» ?


               Comment peut-il prétendre être de Gauche et lutter contre les inégalités lui qui comme député profitait en plus de tous les avantages cités ci-dessus, d’un régime fiscal favorable aux parlementaires leur permettant de ne payer que 50% de l’impôt sur le revenu (cf le Canard enchaîné) ? Doit-on évoquer en outre leur indemnité représentative de frais d’un montant de 6412 euros bruts mensuels non imposable ? Doit on évoquer enfin les différents moyens pratiques mis à la disposition d'un député : en matière de déplacement, il bénéficie notamment d'un accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1ère classe et de la prise en charge de 80 déplacements aériens par an entre Paris et sa circonscription. Il dispose également d'un bureau individuel au sein du Palais Bourbon ou de ses dépendances. Chaque député bénéficie de la prise en charge de ses frais de communication (Internet, téléphone, courriers, ...). Inutile d’en rajouter en évoquant la buvette ou la cantine d’un attrait qualité prix incomparables …


              Nul doute que, complice de ces excès insupportables monsieur Hollande est un homme de gauche comme je suis un  pygmée d’Afrique tropicale …


 

                  Pour une fois les politiques se font peu «diseux», ses opposants Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen ne semblent pas choqués. Sarko démontre qu’on peut être président d’un parti politique et continuer de faire prospérer «sa petite entreprise». En effet, l’ancien chef d’Etat n’a pas abandonné ses très lucratives conférences qu’il donne à l’étranger. Le 6 décembre dernier, c’est à Doha, au Qatar, que le chef de l’opposition s’est rendu. Quant à Marine Le Pen qui met rarement les pieds au Parlement Européen, elle touche 11.000 euros nets fixes  par mois majorés, pour chaque jour de présence aux réunions des organes du Parlement (c’est à dire faire son métier), d’une prime supplémentaire de présence forfaitaire de 304 euros. Quant à son père Jean-Marie Le Pen il ne fait pas son travail de parlementaire. Il est classé, selon sa présence et son nombre de votes au Parlement européen en 720e position sur 754 eurodéputés.

                      

                 Terminons en par Sarkozy ou Giscard qui, refusant de siéger au Conseil constitutionnel perçoivent 13 527,78 euros bruts par mois la boucle est bouclée. Combien de temps encore allons nous accepter un tel affront, une telle provocation à l’endroit de ceux qui se lèvent tôt comme disait Sarko ?


                Les élections venues, le citoyen aura le choix entre les  profiteurs d’un système politique éreinté ou préférer la pêche à la ligne. Nos élus hypocrites mais trop contents d’être réélus se déclareront une fois encore «préoccupés» par l’abstention massive se promettant un jour de remettre de l’ordre dans la maison France …


                 Un jour oui : mais quand ?

 

 

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 19:34

 

                       Les impôts locaux viennent de tomber et, une fois de plus, ils se traduisent par une augmentation des taux s’ajoutant à celle des bases. Comme toujours, et sans la moindre honte les élus nous escroquent, ils «avouent» une augmentation de 1,5% qui, est en réalité, est de 3,5%  (taux voté par la communauté de communes plus revalorisation administrative des bases). Certes nous avons connu bien pire, mais quand même, au moment où salaires et retraites sont gelés, il s’agit bel et bien d’une nouvelle confiscation de notre pouvoir d’achat de 3,5% !  Qui n’aurait pas rêvé de voir son salaire ou sa retraite augmentés de 3,5% en 2014 ?

 

                  Rien n’y fait, en dépit des réquisitoires de la Cour des comptes nos élus continuent à dépenser toujours plus. Impossible pour eux d’imaginer faire des économies.

 

                     En 2015, notre «cher député-président» ne manquera pas d’imputer à l’Etat la hausse de nos impôts en tentant de nous expliquer que la baisse des dotations (aides de l’Etat) ne permet pas de l’éviter …

 

                        Non monsieur le «cher député-président» je ne vous laisserai pas utiliser cet argument. Dois-je vous rappeler qu’en votre qualité de «député socialiste» VOUS avez voté cette décision ! A ce que je sache vous ne comptez pas parmi les «socialistes frondeurs» !!!

 

            La lecture du budget annexe de la compétence «crèches» pour 2014 démontre une aggravation de la situation. Nous y reviendrons en détail lors de mon prochain article deuxième partie.

 

                  Cette compétence dont je n’ai cessé de dénoncer le coût va plomber durablement le budget communautaire. Interpellé en séance publique en 2007 sur ce risque qui exigeait, plus qu’une décision à la sauvette, mais une sérieuse réflexion sur son coût, le président Hellé, relayé par ses «camarades socialistes» s’était violement emporté contre son contradicteur en invoquant «une décision politique». Aujourd’hui tous doivent regretter ce choix dit «politique» qui nous a valu un «châtiment fiscal» sans précédent.

 

                  Il est vrai que les socialistes qui nous gouvernent sont des professionnels de la matraque fiscale, toujours prêts à promettre plus. Savez-vous qu’avec 1% de la population de la planète, la France représente 14% des dépenses sociales de l’humanité ?

              

Alors, aujourd’hui, dans un contexte économique dramatique, le français moyen est lessivé pour financer des dépenses inutiles voire scandaleuses pendant que nos élus «qui ne touchent plus terre» continuent de faire des promesses qu’ils savent parfaitement ne pas pouvoir tenir. Dernière exemple en date : la promesse du Président de, la République sur la stabilité fiscale en 2015 alors que Bercy vient de décider le contraire.

 

                  Locaux ou nationaux, nos élus sont des caractériels impénitents, fourbes au point de faire le lit de Marine alors qu’ils affirment la combattre, capables de violer les règles fiscales qu’ils ont votées ou, mieux encore, d’imaginer comme dans l’affaire Fillon/Jouyet une «véritable conspiration des crétins». Une triste affaire digne des Pieds nickelés qui vaudrait à la France le prix Nobel de la crétinerie au moment où les urgences sont ailleurs …

 

                    Pour eux l’argent n’a pas d’odeur et l’argent public n’a pas de valeur !

 

                  Place aux jeunes il en est grand temps. 

 

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 12:16

               

                     Selon René Dosière, député apparenté PS, les salaires dans les cabinets ministériels ont augmenté de 7,1 % depuis un an "alors que le gouvernement impose aux Français des efforts de rigueur".


                La rigueur, ce n'est pas pour tout le monde. Alors que les membres du gouvernement défendent un budget de rigueur, l'heure n'est pas encore à l'austérité dans les cabinets ministériels. Selon le député apparenté PS René Dosière, qui s'est fait une spécialité de la traque des dérapages des finances publiques, les salaires versés par les ministres à leurs conseillers se seraient envolés cette année. Certains conseillers sont mieux payés que leur ministre


                     Entre 2013 et 2014, leur rémunération aurait ainsi augmenté de 7,1 %, pour s'établir à 8 201 euros brut auxquels s'ajoute une prime mensuelle (pudiquement baptisée "indemnité"), d'un montant de 2 235 euros. Bref, un salaire mensuel de 10 500 euros quand le salaire moyen net en France atteint tout juste 2128 euros. "Ces hausses sont choquantes, alors que le gouvernement impose aux Français des efforts de rigueur» s’emporte Dosières sur son blog. Mais le plus étonnant pour le député, est que, dans 19 des 31 ministères, la rémunération moyenne des conseillers est supérieure à celle du ministre, fixée à 9 940 euros bruts. Il est vrai qu’entre couples formés de ministres et de conseillers tout ceci n’a pas grande importance…


                   Nouvelle trahison du pouvoir de gauche, affront scandaleux fait aux autres français» qui rament, voilà un nouveau cadeau fait à Marine.


                    Talleyrand disait : «on peut violer les lois sans qu’elles crient» ce que ne cesse de faire la clique au pouvoir dans une France de la «pensée unique», mise en coupe réglée par une Enarchie qui a confisqué tous les pouvoirs.


           Jacques Julliard éditorialiste de talent propose aux députés socialistes de mettre en application quelques idées conformes à LEURS principes avant le crash :


              1 Placer l’indemnité parlementaire sous conditions de ressources.


               Vous, députés socialistes venez de le faire à propos des allocations familiales. Pour être crédibles appliquez à vous mêmes vos grands principes. Il y a parmi vous des riches et des moins riches, doivent ils tous percevoir plus de 17 500 euros par mois ?  Qu’en pensez-vous ?


                           2 Assurer l’égalité sociale entre les élus


                  La sous représentation populaire au Parlement (ouvriers, employés, commerçants, artisans …) est scandaleuse, elle profite au Front national. Que pensez vous de l’idée d’une représentation réelle des catégories de français telles que l’INSEE la présente ?

 

                            3 Décider la non-réégibilité des élus


                     La professionnalisation de la classe politique c’est ce qui conduit à se constituer en une caste hermétique qui monopolise tous les pouvoirs. Seul un non-renouvellement des sortants par une rotation des hommes permettrait de mettre fin à l’entre-soi politique. Et surtout n’invoquez pas le faux prétexte que l’élection d’élus sans expérience conduirait le pays à la ruine, c’est ce que, vous, les «Pros» avez fait depuis plus de 30 ans !!! Les assemblées qui ont fait avancer la France en 1789, 1848 ou 1964 étaient précisément composées de novices…


              4 Ouvrir la profession politique à la concurrence comme les notaires, les huissiers, les pharmaciens …


               Contrairement aux apparences, la politique est devenue une profession réglementée dominée par les monopoles. Il faut y organiser une concurrence véritable et non faussée.


                5 Dissoudre les partis politiques actuels, à commencer par le PS au pouvoir


                  Les partis ont été créés pour servir de trait d’union entre le peuple et les élus, ou, comme on disait sous la Révolution, de lien entre citoyens actifs et citoyens passifs. Or, de trait d’union ils sont devenus des obstacles majeurs à la démocratisation de la société. Ils ne sont même pas capables de déceler leurs propres brebis galeuses ou de respecter les règles constitutionnelles de financement des campagnes électorales (Cahuzac, Pygmalion). Pire encore, ils sont capables, comme à l’UMP, d’organiser l’exonération fiscale de leurs généreux donateurs.


             Il faut qu’ils dépérissent pour laisser place à des formes politiques nouvelles.


             © Rien de révolutionnaire dans tout cela. Pas de comité de salut public, pas de guillotine.


                © Rien qu’une petite nuit du 4 août pour l’abolition des privilèges politiques.

                 © Rien qu’un dernier recours avant la sortie de route mortelle pour notre pays.


             Quel candidat osera en faire son programme pour 2017 ? S’il souhaite le faire il va devoir prioritairement régler le problème du recrutement de ses Conseillers. 

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 19:25

 

           Avec l’abandon de l’Ecotaxe nous avons touché le fond. Nos gouvernants viennent de démontrer, une fois de plus, qu’ils ne sont pas capables de soigner la France, capitulant devant la première difficulté, envoyant, de surcroît, un désolant message à tous les défenseurs de corporatismes désuets et égoïstes. Qui peut croire que demain la réforme destinée à défendre le pouvoir d’achat des français en réduisant l’appétit de certaines professions libérales sera encore d’actualité ? Personne !!!

 

                       Ce scandale d’Etat car s’en est un, va coûter beaucoup plus cher que les mesures de réduction des aides destinées aux familles qui font tant hurler. C’est décidé, on ne touchera ni à l’un ni à l’autre, on empruntera quelques milliards de plus et nous continuerons de nous effondrer sous les yeux de nos partenaires Européens  qui ont de plus en plus de mal à supporter les incohérences de notre politique à la Gribouille. Plus attristant encore c’est que cette décision d’abandon a été prise par le ministre sans consultation du Parlement qui avait voté la taxe à l’unanimité. Deuxième message intolérable…

 

           Ecomouv, le prestataire de service percevra ses indemnités de rupture, la France perdra chaque année 700 millions de recettes mais l’auteur de cette ânerie ne sera jamais inquiété. C’est beau le Service de l’Etat !

 

                       Et demain, Moscovici, ancien ministre des finances français va t-il condamner comme commissaire européen la France à quelques milliards d’euros d’amende puisque la France ne respecte pas ses engagements de réduction des déficits ? Rien de bien grave, on les empruntera !

 

                       Heureusement pour nos politiques de droite ou de gauche, le ridicule ne tue plus. Tous déclarent n’avoir qu’un ennemi : le FN et pourtant ce sont ses meilleurs propagandistes.

 

                       Ce matin, face à Bourdin, Ségolène était mal comme jamais, elle sait que l’avenir du gouvernement s’assombrit et que les couacs vont reprendre chacun voulant sauver sa peau avant le naufrage annoncé.

 

                       Une fois encore on essaie de trouver la solution en tentant d’imaginer une nouvelle taxe, celle de mettre en cause les sociétés concessionnaires des autoroutes mais, comme l’a indiqué Sapin ça va être difficile car les contrats sont blindés. De toute manière c’est l’usager qui paiera il en a l’habitude …

 

                       Pauvre France tout fout le camp il n’y a plus de pilote dans l’avion. Mais, dormez tranquilles, Moscovici «émarge gras» et ne sait pas ce que sont les impôts français et le prix des autoroutes au moins lui a trouvé un bon job.

 

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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 19:44

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            La fête locale annonce la fin de l’été, l’arrivée des orages et la réduction de l’amplitude diurne. Cette année, en se qui concerne les orages, nous n’avons pas eu à attendre, ils étaient largement en avance au rendez-vous. Nous avons eu de la chance, la fête locale s’est déroulée dans d’excellentes conditions climatiques.

 

                  Le point d’orgue de la fête locale a été, c’est incontestable, l’inauguration du stade Gérard Bendichou. Je le connais assez peu mais j’ai toujours apprécié sa courtoisie lors de la traditionnelle tournée annuelle des calendriers, son abnégation inlassable et obstinée pour le foot Lafittois. Ce n’est donc que juste récompense. Bonne idée de la mairie de ne pas sacrifier au mythe des «grands hommes» en donnant à notre stade le nom d’un footeux célèbre. Gérard Bendichou est l’exemple même de l’acteur d’une démocratie locale où chacun peut trouver une place sans prétendre être élu. Là était clairement affirmé le message de notre nouveau maire pour une démocratie vivante qui, dans son discours chaleureux a rappelé avec humour l’aventure des pionniers du foot Lafittois.

        

                  Fécitations monsieur Bendichou, à vous et à tous ceux qui ont soutenu dans votre sacerdoce. Il s’agit bien d’un sacerdoce reconnu de tous avec l’hommage appuyé et sincère du représentant de Sport Loisir Lafittois.

 

                  Le «printemps municipal» arrive, les prémices du changement sont là. En orfèvre de la vie locale madame le Maire connaît tous les obstacles à surmonter (autorisations, études, financement …) avant de pouvoir mettre en œuvre un projet. Son équipe est mobilisée depuis trois mois car sa doctrine est d’impliquer chaque Conseiller, chaque habitant. A la Communauté de communes elle a, en dépit d’un à priori défavorable, déjà trouvé ses marques, notre commune va, enfin, être respectée.

 

                  Consciente de l’attente des Lafittois elle a, sans attendre, donné des gages de sa volonté de rénovation de la vie locale.

 

                  Enfin nous avons eu un bulletin municipal digne de ce nom, complet, documenté, bien ciblé sur la vie locale. Demain nous aurons un blog qu’il appartiendra à chaque Lafittois de faire vivre.

 

                  En soutenant cette équipe j’étais convaincu d’avoir fait le bon choix. Après seulement trois mois d’exercice, toute l’équipe, car il s’agit bien cette fois d’une équipe, me donne raison.

 

                  Bravo à tous et encore merci pour Lafitte.

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29 mars 2014 6 29 /03 /mars /2014 16:09

                      Pour disposer de douze sièges sur quinze au Conseil municipal, l’élection de madame Brun ne faisait aucun doute.

 

                     Plus encore que de faire le plein de ses voix, elle a obtenu l’adhésion de deux des trois élus de la liste d’opposition.

 

                      A ces deux élus que j’ai combattus au nom du vote de liste, je tiens à adresser mes félicitations pour leur fair-play.

                 

                      Il ne manquera à madame Brun que la voix de monsieur Arlet à la communauté de communes pour exprimer l’unité de pensée des Lafitois. Nous verrons quelle attitude il adoptera, ensuite nous le jugerons.

 

                      L’équipe est en place, elle dispose maintenant de six années pour tenir ses engagements. Attendons, rien ne presse, seul compte le respect de cet engagement majeur : faire de notre village un exemple de démocratie locale.

 

                       Bon travail à notre nouveau Conseil.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:27

                 J’attends toujours que vous teniez votre engagement de dévoiler votre identité dès la campagne terminée. Pourquoi auriez vous peur «d’un chien qui aboie de loin» comme vous l’avez si bien écrit à mon endroit ?

 

                  M’avoir attribué ce qualificatif peu amène n’est pas de nature à me rendre complaisant, ni à votre égard ni à celui de ces sycophantes qui partagent votre pitoyable choix de l’anonymat. Ce sont de semblables comportement qui ont fait la honte de la France. Ne m’obligez pas à citer des exemples dégradants pour la condition humaine.

 

                  Soyez sans crainte, le jour viendra où, dans la confidence, vous vous dévoilerez.

 

                  Contrairement au phénomène traditionnel observé chez nos voisins, les Lafittoises et les Lafittois ont décidé de mettre un terme à «l’ordre établi», de bouter hors de la gestion municipale ces élus qui, souvent, faute d’une opposition crédible, ont réussi à durer.

 

                  Votre mentor, monsieur Gouazé, a été élu la première fois en 1995 sur la seule liste proposée aux électeurs. Il a récidivé en 2001, aucune opposition ne s’étant déclarée. En 2008 il n’avait face à lui que des candidatures de dernière minute. En fait il a fallu attendre 2014 pour qu’existe, pour la première fois, une opposition crédible. Il a été battu dès le premier affrontement démocratique crédible.

 

                Inutile pour lui de tenter de m’imputer sa défaite et de me promettre, comme il l’a fait publiquement, un mauvais sort. Il lui a manqué plus de deux cents voix pour être élu, jusqu’à preuve du contraire la mienne ne comptait que pour 0,5% …  Quoiqu’il fasse, quoiqu’il dise, les urnes ont tranché, il est définitivement rejeté, lui et son associé d’un jour.

 

                  Il a commis, comme monsieur Arlet, l’erreur de penser que cette fois encore l’élection se ferait en quelque sorte par défaut, qu’il suffirait d’en appeler aux «vieux Lafittois» pour faire la différence. L’un et l’autre doivent regretter aujourd’hui de ne pas s’être manifestés sur mon blog, d’avoir pensé que le mépris pouvait constituer une défense efficace. Trop désuets ils n’ont même pas imaginé en créer un …

 

                  Quant aux vieux Lafittois ils n’ont pas été dupes, choisissant avec clairvoyance la compétence de l’équipe de madame Brun.

 

                 La campagne de vos favoris a été attristante, leur programme insipide, leur défaite était donc actée. Ils peuvent tenter une fois encore de me calomnier, c’est inutile, Lafitte a quitté la route de «l’ancien régime», le printemps est enfin arrivé.

 

                  Pour un parcours parfait il reste à madame Brun un combat difficile à mener, celui de récupérer «notre siège» de vice-présidence de la Communauté de communes. Nul doute que sa victoire éclatante va déranger l’ordre établi. Refuser d’accorder le siège d’une vice présidence qui nous revient de droit serait un «casus belli».

 

                  Madame la Marquise, vous allez pendant 6 ans devoir subir comme 210 Lafittois la gouvernance de madame Brun. Je vais pendant six ans la soutenir comme 344 Lafittois. Là est la différence.

 

                  Maintenant, un dernier conseil, retournez aux divertissements de la Cour.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 11:42

                      Ce matin comme je l’avais pronostiqué dans le dernier article de mon blog, le printemps est bien là.

 

                  Dès hier soir mon blog a battu tous les records d’affluence, mes lecteurs attendant manifestement mon commentaire «à chaud»

 

                  En votant massivement pour madame Brun, les électrices et les électeurs lui ont donné une légitimité absolue, en lui assurant une majorité confortable ils lui imposent de réussir. Je suis persuadé qu’elle réussira, ses engagements clairs et chiffrés attestent de sa sincérité, d’autant que créer une démocratie locale n’exige pas de gros moyens financiers mais plutôt de solides convictions républicaines.

 

                Quelques uns d’entre vous m’ont demandé si j’entendais continuer à faire vivre mon blog et si j’étais prêt, au besoin, à dénoncer d’éventuelles dérives de nos élus. Ma réponse a été affirmative et catégorique, je n’ai passé aucun accord avec madame Brun, je l’ai soutenue parce qu’elle le méritait. J’ai subi les pires avanies, les insultes, les menaces à peine voilées mais je n’ai jamais renoncé, en souvenir de la mémoire de mon grand-père qui m’a appris tout petit «qu’on ne terrorisait que les faibles». C’est cette valeur universelle que j’ai transmise à mes enfants.

 

                  Les électrices et les électeurs ont fait preuve hier de maturité et d’intelligence, infligeant un véritable camouflet aux défenseurs de «l’ancien régime» où toute élection était jouée d’avance.

 

                  Ils ne se sont pas laissés prendre au piège mortifère pour notre village du combat entre anciens et néo-Lafittois, ils ont décidé, en toute connaissance de cause, de prendre leur avenir en mains, de construire leur vie collective dans la concertation.

 

                  Je suis heureux de voir enfin une jeune maman prendre les commandes de notre village, à sa compétence indiscutable elle saura ajouter le charme et toute cette subtilité féminine consistant à garder le cap sans froisser, sans mépriser ses opposants.

 

              A monsieur Arlet qui n’a pas manqué de me «rappeler amicalement» ma défaite de 2008, je  dis «Bienvenue au club».

 

                  Quant à Madame la Pompadour née Poisson, qui écrivait sur mon blog : «Ce n'est pas la 1ère fois que vous aboyez de loin», je l’invite à tenir son engagement de dévoiler son identité l’élection passée. Dans un souci d’objectivité je la publierai.

 

                     Ma détermination je l’ai trouvée dans votre assiduité, chacune de vos visites a constitué un encouragement pour faire émerger une autre vérité.

 

                  Je vous tiendrai informés de la vie locale si le besoin s’en fait sentir, mais, dans l’immédiat, je vais prendre un peu de vacances …

 

                  Bien amicalement à vous.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 21:34

                                     Les électeurs connaissent fort mal le rôle de la Communauté de communes, c’est dommage car c’est là que leur avenir va se jouer. Si le citoyen se trouve dans cette situation d’ignorance, c’est le plus souvent à cause de ses élus qui, et ce cas de Lafitte, ne respectent même pas leurs obligations légales en matière d’information de leur propre Conseil municipal.

 

                  Si ces élus y trouvent un élément de confort, ils prennent un risque majeur, celui de conférer à la Communauté de communes la réputation de cette Europe qui se construit sans les citoyens, cette Europe qui se mêle de tout alors qu’elle ne connaît rien à rien. Nous avons besoin de cette Communauté de communes, à condition qu’elle soit dirigée par des élus compétents, gestionnaires avisés, soucieux de la défense des contribuables de toutes les communes, y compris les plus petites.

 

 Cette communauté de communes devrait prendre des décisions collectives importantes dont, malheureusement, on parle fort peu :

 

                     Le premier enjeu consistera à impliquer toutes les communes,  de la plus modeste à la plus grande, dans un vaste programme d’économies d’énergie autrement qu’avec de simples couches d’isolants ! Des études pour les particuliers, des aides à la modification des systèmes de chauffage, une surveillance accrue des consommations, le soutien à l’installation diversifiée de solutions énergétiques alternatives. Il va bien falloir qu’un jour les élus locaux aient le courage de ne pas céder aux multiples lobbies pseudo-écologistes qui refusent tous les projets en réclamant par ailleurs l’arrêt des centrales nucléaires.

 

                     Le deuxième enjeu est un véritable défi dont la population usant l’eau du robinet à tout va, n’a absolument pas conscience. La ressource en eau de qualité devient rare, les efforts à faire pour restituer à la nature une eau propre nécessiteront des investissements colossaux alors que les usagers ne veulent pas payer davantage. L’enjeu est pourtant essentiel pour les générations futures. Le périmètre communal, voire intercommunal, est totalement obsolète puisque les nappes souterraines ignorent les frontières administratives.

 

                  Enfin, il restera à assumer la mise en place de la «taxe incitative» pour les déchets ménagers, la diversification des collectes sélectives et les effets du désengagement des filières de fabrication et de distribution dans bien des secteurs économiques. Ce ne sera pas une mince affaire car les contribuables veulent un service performant, fiable, éthique mais… peu onéreux ! En fait dans ce secteur comme dans beaucoup d’autres, le «poujadisme» va sévir, et l’enjeu sera de savoir si les nouveaux élus sauront faire passer les valeurs fondamentales pour l’avenir avant le clientélisme habituel ! Merci VEOLIA, merci EOVAL !!!

 

                  A la différence de monsieur Gouazé passionné par le béton et le goudron, madame Brun a une vision autrement plus pragmatique des enjeux. Voilà un élément déterminant de mon choix électoral. Dans cette élection je n’ai rigoureusement rien à gagner sauf de faire triompher mes convictions, je défends donc obstinément celui ou celle qui me semble le meilleur pour tous.

 

                  Facile pour un élu de prendre une décision, surtout quand sa mise en œuvre est confiée à un tiers. Dans une vie professionnelle très dense et diversifiée j’ai été, au début de ma carrière, le «méchant Percepteur». Pour avoir assumé le recouvrement de l’impôt j’en connais le «coût social» beaucoup mieux que ceux qui le votent à la sauvette. Je me souviens encore de ces jeunes mamans qui ne savaient plus ce qu’elle devaient payer en priorité : la cantine, la facture EDF ou la taxe d’habitation... Je me souviens de tous ces salariés dont j’étais contraint de saisir le salaire pour les contraindre à payer leurs impôts locaux. De tout ceci vos élus se moquent … Pour assurer leur réélection il leur faut toujours dépenser plus pour gagner des voix.

 

                   Dégagé de mon «devoir de réserve» j’ai décidé de défendre le contribuable. Le pouvoir ne m’intéresse pas. Le vrai pouvoir, c'est la connaissance, c’est ce que je tente de vulgariser au travers de mon blog. N’en déplaise à tous les élus de l’ordre établi qui tentent de convaincre les «moutons» que le «changement c’est pour aujourd’hui»

 

                  Ce matin, en me rendant au marché de Carbonne, j’ai eu droit à une manifestation des employés de la Communauté de communes en grève, manifestement mécontents de leur sort. J’ai tenté d’en comprendre la raison. Il semblerait que pour réduire les coûts de fonctionnement, les élus auraient décidé de remettre en cause leur système de congés extrêmement favorable et en décalage complet avec les personnels de la ville de Carbonne. Je n’ose même pas faire la comparaison avec le secteur privé.

 

                  Alors messieurs les élus, vous revenez sur les avantages acquis ? Il faut bien que la cigale devienne fourmi puisqu’elle se trouve confrontée au «ras le bol fiscal» qui ne lui laisse plus d’autre choix que celui de réduire son féroce appétit. Vous voici enfin confrontés à vos décisions budgétaires irresponsables.

 

        Nous avons été dirigés et gérés par des incompétents, des démagogues, une armée mexicaine composée d’un président et de 15 vice-présidents très correctement indemnisés.

 

                      Depuis 2008 ma position est simple : il faut faire battre, toutes sensibilité politiques confondues, tous les candidats de demain qui ont été membres du bureau de la Communauté, lieu où tout se décide. A commencer par monsieur Lemasle, Député Président, chargé pendant six ans de la gestion financière de la Communauté.

 

                  Notre «cher» maire fait partie de cette liste noire et, dommage pour monsieur Arlet, mais cheminer en sa compagnie n’est pas vraiment porteur. Pour ne pas l’avoir compris il en sera une victime collatérale.

 

                  Avant de mettre son bulletin dans l’urne dimanche, je conseille à chaque Lafittoises et à chaque Lafittois de juger sur pièces. C’est facile, il leur suffit de prendre leurs feuilles d’impôts locaux de 2008 et 2013 et d’essayer d’imaginer, en l’absence de tout nouveau service communautaire, comment a été utilisé cet argent de plus en plus difficile à gagner.

 

                  Sauf pour les élus bien entendu, c’est bien connu : « charité bien ordonnée … »

 

                  Nous sommes fort loin de la démocratie participative promise par messieurs Arlet et Gouazé. A leur décharge, pour n’avoir fait que plagier les propositions de la liste adverse, je suis convaincu qu’ils n’ont aucune notion de ce concept noble mais exigeant dans son application au quotidien.

 

                  Dimanche sera le printemps Lafittois, j’en suis persuadé. 

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  • : Créé par Gérard Facon
  • : La vie municipale et nationale examinée par un citoyen Lafittois.
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  • Gérard Facon
  •  Formation économique, juridique, banque, comptabilité publique. Diplômé de l'Ecole Nationale du Trésor.
 Trésorier Principal du Trésor Public  honoraire, Directeur d'études Caisse des dépôts,coopérant finances à l'étranger.
  • Formation économique, juridique, banque, comptabilité publique. Diplômé de l'Ecole Nationale du Trésor. Trésorier Principal du Trésor Public honoraire, Directeur d'études Caisse des dépôts,coopérant finances à l'étranger.

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